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magiques

Arabica
es-tu-là?

Feat:Libre
Lieu:Cafétéria
Heure:Soirée
Temps:Nuit tombée

S'il voulait un autre café....meh...toute cette situation avait au moins le mérite de le "rassasier". Non vraiment, sans façon, il préférait que l'autre homme lui en apprenne davantage sur les sortilèges informulés. D'ailleurs, il y avait cette autre fille de sa maison qui lui fit une sorte de compliment qui l'amusa beaucoup si bien qu'un bref sourire apparu sur ses lèvres l'espace d'un instant. Elle est amusante elle, elle n'a pas sa langue dans sa poche, il apprécie. Enfin il espère quand même qu'il n'y en aura pas de bagarre....même si....il a des doutes vu comment ça commence. Ouuuuh quand l'homme annonça qu'il était en réalité un professeur, il ne fut pas plus surpris que cela, non, bien que son comportement laissait envisagé qu'il n'était des plus expérimentés avec les élèves. Il y avait de l'autorité, certes, mais comme une gêne, comme une certaine retenue....une retenue mal dosée, comme s'il flanchait tel une balance d'un côté ou de l'autre sans savoir exactement se stabiliser. Ouuuh c'est dangereux ça, non? Un de ces jours, ce professeur va craqué....soit il se mettra à pleurer, soit il va piquer une de ses crises à terrifier toute l'année les élèves. Et malheureusement, ce sera pour eux que ça va tomber vu le trouble fête qu'il y a en première année.

Et quand on en parle....la sentence arrive. Pas pour lui, non, mais pour eux tous chez Griffedecoq. Vous êtes visiblement deux à soupirer bien que tes sourcils se froncent de mécontentement. Ouai là nan, ça va pas le faire. Si quelqu'un se met en travers de ses objectifs il n'est pas pour. Il veut que leur maison soit première ou au moins deuxième, pas bonne dernière à cause d'un imbécile qui ne sait pas se tenir correctement. Et le pire c'est que même quand le professeur revint....il se prit plus ou moins un refus. Oh allez quoi, A1, A2, quelle différence? S'il faut avoir des pré-requis il s'arrangera pour les avoir, il n'y a pas de soucis.
Mmh...même s'il le remercie, il ne comprend pas vraiment pourquoi, n'importe qui en aurait fait de même n'est-ce pas? Et puis, il l'a lui même nettoyé juste avant, il était logique d'en faire autant et il ne se voyait pas oublier cette autre jeune fille. Il sent bien qu'elle ne va pas bien du tout.

D'ailleurs il ne comprend pas non plus pourquoi l'autre demoiselle aux cheveux bleus veut la forcer à rester, si elle veut s'en aller car elle a d'autres préoccupations ou a besoin de s'isoler, pourquoi la retenir? Il trouve que parfois les autres pensent bien agir en voulant sociabilisé mais n'est-ce pas quelque peu présomptueux, égoïste voir irrespectueux de vouloir ainsi imposer son envie par rapport à celle de l'autre? Elle pourrait même la faire se sentir encore plus mal, savoir dire non n'est pas donné à tout le monde et en plus certains culpabilise ou psychote qu'on ne va plus les voir positivement s'ils le font. Nouveau soupir. Tient? Le professeur se prend un café comme lui, cela le fait hésiter pendant un instant à s'en reprendre un.

▬ Eugène...

Il allait poursuivre mais les remarques du blond le stoppèrent dans son élan. Attendez....c'est pas un sang pur? Il ne lui semble pas avoir entendu parler d'une famille de sang pur du nom de Chevalier. Eh ben, il a un sacré ego celui-là....et répondre comme ça à un professeur....il cherche à se faire renvoyer dès le premier jour? Le reste de ses paroles passent comme un fond sonore à ses oreilles à part....sa plainte concernant les 20 points. C'est vrai que c'est un peu beaucoup, surtout pour avoir renverser du chocolat chaud et avoir fait son malin. Il aurait fracassé la tête d'un étudiant passe encore mais là....surtout dès le premier jour et son argument des conséquences sociales tenait la route. Après il ne va pas le défendre mais, en effet, cet imbécile n'a pas tord....même s'il enfonce vraiment le clou en continuant de vociférer des menaces. Encore une fois ton regard se porte sur l'autre jeune fille qui se met à lui répondre. Décidément, tes yeux font du ping-pong ce soir. Oh, ces cheveux! Tu en as entendu parler...c'est...non pas un animagus....un...metamorphomage! Oui, c'est ça! On dit que leurs cheveux changent de couleur en fonction de leur humeur, c'est vraiment intéressant. Regardez le fixer davantage sa chevelure que le reste.

Kekelladit? Il n'a pas trop écouté, il faut dire que la conversation ne l'intéresse pas le moins du monde et surtout ne le regarde pas, il n'a pas envie de s'en mêler. Même s'il paraît tout à fait tranquille, toutes ses jérémiades l'ont quelque peu fatigué/agacé/ennuyé, autre adjectif en é? Finalement il est peut-être temps de retourner au dortoir avant qu'une nouvelle catastrophe arrive. Il fait un mouvement de tête vers le professeur et lève la main en l'air en lâchant un léger "à la prochaine" pour les deux autres jeunes filles avant de partir, loin des problèmes, il l'espère.

@emme

RP Libre

Arabica, es-tu là ?

C'était assez fier de lui que Toma était revenu s'accouder bar ; le sourire qu'il affichait en témoignait. Pour un premier élève récalcitrant, il avait su prendre la situation en main, et c'était une excellente nouvelle. Un véritable encouragement pour l'avenir. Peut-être n'était-il pas, finalement, totalement dépourvu d'autorité ? Non, il avait ce sens du verbe, cette réparti qui le sortait toujours des situations difficiles ! Et ça, c'était extraordinaire. Ou du moins, c'était ce qu'il se répétait pour faire gonfler son orgueil atrophié et regagner sa propre estime. Une tentative assez pathétique, qui répondait à des années de souffrance psychologique et de manque maladif de confiance en lui. Après tout, ses diverses expériences sociales, les imprévus et les accidents de la vie l'avaient traîné dans divers états calamiteux, qui l'avaient à chaque fois forcé à se reconstruire. Repartir de zéro après une remise en question douloureuse, et se fier aux paroles souvent acerbes de son entourage comme seul point de repère. Mauvaise idée.
Mais lancés seuls sur cette nouvelle route, lui et son libre-arbitre, il lui semblait soudain qu'il reprenait le dessus sur une existence trop dictée par le regard des autres… Cette nouvelle aventure le renforçait dans cette optique : ne faire attention à rien ni personne et avancer coûte que coûte, sans se poser de questions. Plus facile à dire qu'à faire, mais il essayait, et c'était déjà beaucoup.
Toma s'attendait donc à savourer son café en toute tranquillité : le nom du jeune Griffdecoq ne l'intéressait guère, en réalité. Il n'irait sans doute pas le dénoncer au directeur. Vingt points en moins suffisait amplement… Il pensa d'ailleurs qu'il y était peut-être allé un peu fort, mais ne se ravisa pas, de peur de passer pour le dernier des idiots.
Non. Désormais, toute son attention était concentrée sur le jeune garçon qui se tenait à ses côtés, et observait sa tasse vide d'un œil médusé, trempant une confiserie dans un fond noyé de dépôts noirs et collants. Autour d'eux, un calme relatif : la mystérieuse élève qu'il avait vaguement reconnue, non sans une certaine gêne, était restée silencieuse. L'étudiante s'intéressa à elle dans un élan de politesse… Le japonais pensa que ce n'était peut-être pas une bonne solution de forcer quelqu'un d'introverti à la conversation, mais il n'en dit rien, et préféra écouter la réponse de son interlocuteur.
Eugène…

Eugène. Et c'était tout ce qu'il apprendrait du brun, ce soir-là. Car ce qui lui semblait avoir été jeté aux oubliettes, réglé, plié comme disaient certains français, éclatait de nouveau avec une violence décuplée. Voilà que sa beuglante favorite reprenait du service, plus fort encore, comme s'il n'avait toujours pas daigné l'ouvrir…
Toma se figea, tous ses muscles se crispant au son absolument insupportable de cette voix de sifflet, et jeta un regard plus que sidéré sur ce garçon qui gesticulait dans tous les sens et éructait de colère, forçant le ton du scandale et criant le plus fort possible pour que tout le monde pût assister à la scène, et ce même sans l'avoir désiré.

Il ne réagit pas tout de suite, écouta ce plaidoyer attentivement. Tutoiement intempestif. Apostrophe tout à fait familière et démesurément outrée. Honte et respect dans le même sac comme seuls arguments… Et la suite était d'autant plus passionnante : accusation de harcèlement, calomnie, atteinte à un professeur… Voilà qui était fort intéressant.
Toma fut stupéfait par la brutalité de ces paroles qui avaient ricoché sur tous les murs de la cafète pour l'atteindre, bien malgré lui, en plein ego. Il n'était pas vexé… Mais il se sentait sali, humilié. Et ce n'était pas une sensation agréable ; surtout après la fierté ressentie quelques instants plus tôt.
Le petit soupçon de confiance qui avait gonflé sa poitrine s'évanouit d'un seul coup, ne laissant sur son passage qu'une sévère amertume et une colère sourde qu'il se devait de contenir pour ne pas dépasser les limites qui lui étaient autorisées.

Aussi se contenta-t-il de laisser échapper un long soupir, particulièrement bruyant, et de s'écarter du bar pour revenir vers ce fameux Alban Chevalier, quin'estvisiblementpasn'importequi… Breeeef. Encore un sang-pur qui ne peut plus se sentir…
Tous les élèves et étudiants qui étaient encore dans la salle regardaient la scène avec un air de surprise assez ridicule, dont il aurait volontier ri s'il n'avait pas été impliqué dans l'affaire.
L'intervention de la jeune femme, d'ailleurs, ne manqua pas d'attiser sa colère, ranimant quelques braises encore incandescentes. Il lui lança un regard sévère qui l'intimait au silence :

━ Je vous remercie, mais les problèmes, c'est moi qui les gère si cela ne vous dérange pas. Et si j'ai une remarque à faire, je m'en chargerai aussi. Je n'ai pas besoin d'une porte-parole.

Peut-être un peu sec. Mais sa grande patience avait des limites, et autant dire que ses réserves étaient proches du néant. En dix minutes, le premier soir après une journée particulièrement stressante et une cérémonie interminable… Oui, tout ceci faisait beaucoup une fois additionné, et il ne lui resterait bientôt plus que les yeux pour pleurer, même s'il ne leur donnerait certainement pas ce plaisir.
Non : il allait appliquer ses cours pédagogiques : la discussion devant une puissance supérieure, à savoir Feudeymon. Si le jeune homme avait des arguments, alors il aurait l'occasion de les clamer haut et fort. De son côté, Toma savait bien qu'il n'avait rien à se reprocher. Cette pensée calma sa colère et sa frustration ; l'envie tenace de régler toute cette affaire par la violence physique – qu'il s'était (presque) toujours interdite – se calma au profit d'une gestion froide et mathématique :

━ Monsieur Chevalier, je vous sens tendu. Eh bien. Je vous propose d'aller vous plaindre avec moi chez le directeur. Nous allons y avoir une petite discussion, tout les trois. Sentant bien que l'énergumène était encore capable de crier à l'injustice, Toma décida d'ajouter une petite conclusion aux accents volontairement tyranniques. Évidemment, je ne vous laisse pas le choix. Et si vous refusez d'obtempérer, sachez que je sais très bien pratiquer le maléfice de Bloclang et le Levicorpus qui s'en suit. Je vous prie donc de me suivre, et en silence. Nous vous avons déjà bien assez entendu.

Pas de sourire cette fois-ci. Seulement un regard assassin, et un petit signe de la tête pour l'inviter à lui emboîter le bas. Le fameux Eugène s'était éclipsé entre temps…
Toma laissa échapper un long et profond soupir : il était venu pour reposer son esprit en ébullition, et il repartait avec une charge mentale supplémentaire. Décidément, la soirée allait être longue, très longue.

EPSILON

RP Libre

On te parlait, oh non... Toi qui espérait pouvoir fuir sans le moindre problème. Toujours happée par tes habituelles tares, tu finis par être figée dans ta position actuelle - à fixer la demoiselle à la chevelure bleutée de manière morne, un peu ailleurs. Ton cerveau se bloque encore et toujours à la moindre interaction sociale, c'est un miracle que tu n'as pas juste pris les jambes à ton cou rien qu'à l'instant où on t'a de nouveau regardé en face. Tu restes entravée ainsi, tu ne peux même pas réfléchir convenablement ou faire attention à ce qui continue de se faire autour.

Totalement ignorante de l'énième explosion d'humeur du blond et des échanges des autres vis-à-vis de ce dernier. Tu ne reprends conscience de la situation que par du mouvement. Oh. L'un d'eux partait, celui au cheveux noirs qui s'était fait tâché de café. Cela devait être ta chance pour fuir sans être remarquée. C'est ce que tu te disait intérieurement avec un léger espoir, totalement éveillée, tu étais prête à aussi partir le plus vite possible. Mais contrairement à l'autre, s'en aller sans un mot.

Mais tu n'as même pas le temps d'initier ton début de fuite que la jeune femme prend la conversation avec toi. Enfin, est-ce réellement une conversation vu ton manque de réponse ? Passons. Cette seconde tentative te prend un peu de cours, ne sachant pas trop quoi faire dans ce genre de situation. Tu ne te sentais clairement pas d'humeur et d'énergie de rester plus longtemps ici, surtout pour sociabiliser.

Ou du moins, t'y essayer.

Heureusement, tu ne bugues pas mentalement cette fois-ci. Mais ce qui rend ton anxiété que plus visible, tu regardes avec une légère panique les alentours comme cherchant une échappatoire ou comme pour vérifier que c'était bien à toi qu'on parlait - il y a toujours une possibilité que tu te trompes après tout et qu'elle parle à quelqu'un de plus intéressant que toi. Mais rien de tout ça. Tu t'enfonces peu à peu dans ton écharpe de nervosité, avant de finalement prendre ton courage à deux mains, le peu que tu as actuellement en tout cas. Ainsi tu réponds finalement part de brusques mouvements de tête de manière négative.

Tu ajoutes à cela de frénétiques courbettes comme pour t'excuser. Tu déposes rapidement quelque chose sur le comptoir, maintenant pratiquement vide de tout le groupe hormis la jeune femme et toi, avant de fuir de toute ton âme. Sur le moment, tu ne savais pas trop ce que tu avais déposé en signe d'excuse, mais ce ne sera que bien plus tard que tu t'en rendras compte. Une fois loin de tout ça et surtout dans un état plus calme. Tu espères que la bleutée ne le prendra pas mal.

Tu avais totalement oublié que tu avais ça sur toi, que tu les avais fais dans la journée. Et c'était la première chose que tu avais sous la main avant de fuir. Ce n'est pas offensant de laisser des muffins aux framboises à quelqu'un, pas vrai..? Il y a aucune culture que tu ignores qui dit ça, pas vrai ? ...Oh non, et si elle en était allergique ..? Ce serait le pire.

C'est la rentrée, et tu es déjà bonne à passer une mauvaise nuit à t'en vouloir et penser à de meilleurs actions que tu aurais pu faire pour être utile ou avoir des amis. Ca se passera mieux dans l'année... On y croit...

C y a l a n a

Arabica es-tu là ?

RP Libre

Agacée par la réaction du professeur, probablement en manque de sa propre estime, tu roules des yeux sans t’en cacher mais ne réplique pas. De ce que tu en juges, il serait capable de te retirer des points à toi aussi, solution de facilité pour asseoir une autorité que tu n’as pas cherché à ébranler, et en laquelle lui-même semble ne pas croire.

Reprendre l’un de ses camarades, dont le prix des agissement s’en trouve être collectif, n’étant ainsi pas toléré, tu te détournes complètement du blond en espérant que ça n’empire pas. Lorsque ce dernier s’en va, accompagné dans le bureau du directeur par l’homme au bras artificiel, tu es partagée entre l’inquiétude de voir leur interaction se prolonger, et le soulagement de ne plus avoir cette source dramatique dans ton environnement proche.

Les imitant, le jeune homme aux mains magiques te salue, avant de quitter la cafétéria. Seule au comptoir avec la jeune fille à l’écharpe, tu lui propose de boire quelque chose. Son silence t’intrigue. Ses yeux balaient la pièce, comme à la recherche de quelque chose, tandis qu’elle semble ignorer ta question un instant. Finalement, sa réponse négative, silencieuse, et ses courbettes pas bien plus bruyante finissent par t’arracher une moue inquiète. Serait-elle sourde-muette, ou porteuse d’un handicap similaire ? Ou encore victime d’un sortilège de Bloclang ?

-Tu ne peux pas…

Tes yeux la suivent, alors qu’elle s’enfuit en toute hâte, déposant à la volée quelques gourmandises sur le comptoir. Ta main danse une seconde dans les airs, dans un geste témoignant de ton incompréhension. Les yeux rivés sur la porte de la pièce, tu dois te rendre à l’évidence : c’était une fuite.

A demi-coupable, tu reportes ton attention sur les muffin. C’est pour moi ?, te demandes-tu. Ta boisson posée à côté de ton coude sur le comptoir, tu observes la pièce, les personnes restantes, les bruits de conversation, à la recherche d’une tête connue avec qui partager quelques minutes autour d’une table.

Un soupire t’échappe. Pas commune, cette rentrée.

artemis | www

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*Tableau des sortilèges (ordre alphabétique SVP)*
1	Accio
2	Allohomora
3	Collaporta
4	Expelliarmus
5	Expulso
6	Incendio
7	Lumos
8	Nox
9	Recurvite
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11	Riddikilus
12	Wingardum Leviosa
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*Tableau des potions (ordre alphabétique SVP)*
1	Herbicide
2	Philtre de Confusion
3	Potion d'Aiguise-Méninges
4	Potion d'Amnésie
5	Potion confusion
6	Potion d'Enflure
7	Remède contre les furoncles
8	Vapeur de Fatigue
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*Tableau des sortilèges (ordre alphabétique SVP)*
1	Accio
2	Allohomora
3	Collaporta
4	Expelliarmus
5	Expulso
6	Incendio
7	Lumos
8	Nox
9	Recurvite
10	Reparum
11	Riddikilus
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*Tableau des sortilèges (ordre alphabétique SVP)*
1	Accio
2	Alohomora
3	Expeliarmus
4	Expulso
5	Lumos
6	Nox
7	Protego
8	Recurvite
9	Reparum
10	Riddikulus
11	Sortilège informulé
12	Stupéfix
13	Wingardium Leviosa
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*Tableau des potions (ordre alphabétique SVP)*
1	Antidote des poisons courants
2	Herbicide
3	Philtre de confusion
4	Philtre de paix
5	Potion d'amnésie
6	Potion d'Aiguise-Méninges
7	Potion de puissance
8	Potion de ratatinage
9	Potion d'enflure
10	Remède contre les furoncles
11	Vapeur de fatigue
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