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you have the power to make or break my day. There's nowhere left to hide.

05 : 15. La nuit fut paisible sur l'un des deux fauteuils de la salle commune des Chadargents (non, le cas des sous-sols n'a pas encore été réglé) ; le réveil est un peu moins tendre. Il faut que je m'en aille. Il y a ce manque évident de la présence de Matyas, le sevrage aux somnifères involontaire, l'incompréhension générale, la dernière explication (foireuse) donnée par le professeur Watson et cette si désagréable impression... d'être épiée en permanence entre ces murs, et ce, même (surtout en fait) au réveil. / 05 : 18. Il faut que je m'en aille, ma place n'est pas ici. Le cœur est lourd et les yeux légèrement embrumés. Il n'y a personne, tout le monde dort à cette heure-ci. Les larmes coulent, silencieuses. Le malaise est profond ; bonjours les douleurs somato-émotionnelles. Les sanglots sont étouffés et le corps recroquevillé. Je n'ai rien à faire ici. Ce n'est pas chez moi, je ne comprends pas un piètre mot à ce que disent les gens ici. Matyas. Viens me chercher, s'il te plaît... La coupe est pleine ; la crise d'angoisse n'est pas loin, à n'en pas douter. Je pars ce soir, ça ne peut plus durer. / 06 : 20. Qu'est-ce qui ne tourne pas rond chez moi ? / 06 : 24. C'est avec difficulté que je me traîne jusqu'à la salle d'eau. / 07 : 05. Ce manuel de français va me rendre chèvre, je n'y comprends rien. La concentration n'est plus. / 07 : 25. Il faut que je m'en aille. / 08 : 02. C'est à s'en claquer la tête contre les murs. Allons prendre l'air.

08 : 36. Il faut que je m'en aille. L'automne, ses belles couleurs chatoyantes et ses premiers frimas. L'atmosphère paisible de la haute-cour n'a pas son pareil : tout n'est que calme et volupté. Installée sur le bord de la fontaine, j'observe avec grand intérêt l'architecture des lieux. Il faut que je m'en aille, vite. L'Art — au sens large du terme — m'a toujours passionnée, tant est si bien que la danse, en plus de m'offrir un épanouissement qui m'est propre, m'a permis de me forger, au fil des lectures diverses et variées, une robuste culture artistique. Il faut que je m'en aille maintenant. Elle repasse encore et toujours en boucle, cette phrase empoisonnée. Mon arrivée en ces terres est entourée de bien trop de mystères et mes lettres adressées à Matyas demeurent sans réponse. Pourquoi...—

« Zsuziii... pfiou... iie !— »

Schala ? La tête est tournée. Hum. Les dernières marches sont les plus difficiles à dévaler, j'en sais quelque chose... et cette petite bouille n'est certainement pas en reste, vu les perles sur son front. « { Tu es bien matinale aujourd'hui dis-moi ~ } » l'entrain est enfin de la partie, laissons nos soucis de côté pour le moment. Qu'est-ce qu'elle porte dans ses— « { Attention, il ne faudrait pas que tu te fasses mal au dos av— } » je me précipite vers elle, prête à l'assister. « { Mais non mais non, c'est tout léger ! } ((son air est fier)) { Un professeur m'a confié ce paquet, il est pour toi. } ((ledit objet est fourré dans mes bras.)) { Il s'est manifestement perdu dans le courrier de l'école. } » un colis. « { Un paquet ? Pour moi ? } » le regard est interrogateur. La boîte est détaillée sommairement : un emballage d'un gris tourterelle en carton rigide, nœud en satin doré parfaitement noué à la clef. Il faut bien avouer que c'est un sacré bébé, en long comme en large : dire qu'il ne pèse que cent grammes serait mentir. « { Pfioou... C'est que tu m'as donné du fil à retordre ce matin pour te trouver ! j'ai bien cru que tu t'étais volatili— oh ! } ((ses yeux pétillent)) { mais tu as bien meilleure mine aujourd'hui ! En voilà une nouvelle qu'elle est bonne ! Je suis rassurée, ça fait plaisir à voir. Pose cette boîte, on regardera après ce que c'est ! } ((pas le temps d'agir qu'elle s'en empare et la pose sur le rebord de la fontaine)) { Maintenant, on peut passer aux choses sérieuses !} ((le geste qui suit est une étreinte des plus intimistes, de celles que l'on prend plaisir à recevoir.)) { Attends, attends, laisse-moi regarder tout ça de plus près ! } ((elle gesticule, détaillant mon visage sous toutes ses facettes.)) { Hum... plus de cernes [...] blablablalbla [...] pas de poches dégoûtantes [...] ah, oh ! ah ! tes yeux sont légèrement gonflés, c'est normal ? [...] } ((heureusement, elle passe bien vite à autre chose)) [...] { pas de taches blblblblbl [...] blablablabla [...] eeeeet } ((elle tire sur mes joues, semblant vérifier les dents et l'élasticité de la peau)) { ... parfait, parfait, parfait [...] } » je reste figée, les joues néanmoins légèrement rosies. Schala a toujours été comme ça, énergique et exubérante au possible. Il y a cependant une chose que je ne peux lui retirer : son grand sens de l'expertise et du détail. Elle a raison, je dors bien mieux depuis quelques nuits, par je ne sais quel miracle.

« { Schala. } »

« { [...] et puis on dirait que tu as quelques produits de cosmétique dans ta valise finalement [...] oh et cette peau est si parfaite, vraiment je t'envie, tu es si ravissante, et pourtant tu n'as pas de fond de teint, n'est-ce pas ? Il n'y a pas de justice sur cette Terre ! [...] Tu as vu, j'ai mis un nœud rouge aujourd'hui, comme ceux que je portais à Ilvermorny ! [...] ah d'ailleurs ! y'a bien longtemps que je ne t'ai pas prise en photo ! } ((sa petite moue est craquante)) { je suis certaine qu'il y a de très bons photographes à Glaiv, on devrait aller y faire un tour un de ces quatre [...]— } » non. Il n'y aura pas de un de ces quatre.

« { Schala, s'il te plaît. } »

Son enthousiasme est contagieux et bien qu'elle parvienne à m'arracher un sourire suivit d'un gloussement avec ses singeries, la douceur des traits laisse vite place à un sérieux quasi-cérémonial qui n'est pourtant habituellement pas mien. Je le vois, ce sourire qui s'efface petit à petit, et que dire de ses petits yeux subitement habités par l'inquiétude — comme je me déteste dans ce genre de moments. Mais ne rien lui dire serait sans doute la pire des trahisons. « { Il faut que je te dise quelque chose, mais tu dois me promettre de n'en parler à personne. C'est très important. } » c'est très important qu'elle ne communique ni à Pierre, ni à Paul, ni à Jacques ce que je m'apprête à lui confier. « { Tu sais bien que tu peux... tout me dire Zsuzie. Mais tu me fais peur... qu'est-ce qui se passe ? } » une grande inspiration est prise.

« { Je pars ce soir. } »

« { Eh ? comment ça ? Matyas vient te chercher ? } » « { Non, pas vraiment. } » « { ... attends, toute seule ?} » la voilà qui percute enfin. « { ... mais... mais, tu ne vas pas— } » il y a un blanc notable. « { ... tu vas encore me laisser ? } » elle se décompose. « { Ma puce... } » mon visage s'adoucit considérablement, tandis que je l'entoure délicatement de mes bras, venant à mon tour l'étreindre. « { Je promets de te donner des nouvelles comme nous le faisions jusqu'à maintenant, la distance n'empêchera jamais tout ça, tu le sais bien. Mais ma place n'est pas ici. L'idée de reprendre mes études et tout ce qui en découle, m'enchante énormément mais... mais cette histoire n'est pas claire, tout est si soudain et... et inopiné... } » mes yeux se ferment, doigts caressant ses cheveux si doux. « { Ma place est auprès de Matyas. } » « { Et les Bridou, hein ? Et Carter alors ? } » Carter ? « { Car... ter ? } » le professeur Watson. Que vient-il faire très précisément dans notre... conversation ? Mes yeux se sont arrondis entre temps, gagnés par la brutalité et l'incompréhension. Pourquoi faut-il toujours que ce professeur revienne en permanence sur le tapis ? je dois le croiser à peu près tous les jours — que ce soit à la bibliothèque, vers la salle commune, dans les couloirs, au réfectoire même. Il est toujours là. Pourquoi faut-il qu— « { C'est lui qui est venu te chercher ! } » oui, en pleine nuit, supposément parce que son mari souhaitait la voir reprendre ses études. Quoi de plus basique qu'un enlèvement de nuit... pour justifier tout ça ? Ce n'est ni le genre de Matyas, ni sa façon de procéder. Non, non, non. Avouez que cette histoire n'a ni queue, ni tête : qui serait assez idiot pour gober de telles sornettes ? certainement pas moi. J'ai besoin d'en avoir le cœur net, de m'assurer qu'il va bien. Que me cache t-il ? « { Promets-moi juste que tu garderas ça pour toi. Tout ira bien, je te le promets. Je te remettrai une lettre dans l'après-midi que tu n'auras qu'à remettre au professeur Watson demain matin, je serai normalement déjà loin : s'il te pose des questions suite à ça, dis-lui que tu ne sais rien. Fais-moi confiance. } »

« { Non... Tu n'as... pas le droit... Si tu te rates, Feudeymon verra ça d'un très mauvais œil. Et le fantôme qui traîne en ce moment... Zsuzanna, s'il te plaît... } »

Il y a de la frustration et des larmes.

Je ne reviendrais pas sur ma décision.

Le compte à rebours est lancé.

★ ★ ★

15 : 02. La fin des cours. Je n'avais pas encore eu le temps d'ouvrir le paquet magnifiquement emballé. Le voilà à nouveau passé au crible, inspecté sous toutes ses coutures : il n'y a définitivement aucune adresse, aucun expéditeur. Ce colis viendrait-il en fait de l'intérieur ? Les sourcils sont légèrement froncés. Embarrassée mais pour le moins curieuse, j'entame de dénouer le ruban et de soulever le couvercle quand...— (www.) « { Une robe ? } » encore plus intriguée, je la déplie délicatement, tombant en chemin sur la petite carte sur laquelle figure un furtif et élancé « vous en aurez bien besoin en France ». Le vous est de circonstance, se pourrait-il que ce soit... Matyas ? Le visage s'illumine.

Oui, c'est forcément lui.

Quelle surprise que de découvrir également une cape violine bien épaisse (www.) ainsi qu'une fine bouteille... de parfum ? Je ne résiste pas plus à l'envie de m'enivrer de la fragrance. Ce parfum. Les pensées prennent le dessus.

C'est forcément un signe.

16 : 24. La lettre est rédigée et confiée à Schala.

★ ★ ★

02 : 34. Personne ne traîne aux alentours. Les étudiants rencontrés il y a vingt minutes à peine semblent être partis se coucher. C'est le moment. Valise allégée par un sortilège, je m'engouffre dans le couloir, la longue robe et la cape (légèrement entrouverte) sur le dos (le capuchon n'est pas rabattu) : il aurait été idiot de s'encombrer d'un énième carton, un bagage est déjà bien assez handicapant comme ça.

Les fenêtres défilent et, bien vite, mon regard se trouve happé par la Lune presque-pleine : y-a-t-il spectacle plus admirable que cet astre qui scintille et dance haut dans le ciel dégagé ? Assurément que non. Même la plus splendide des nymphes ne saurait l’égaler. C’est pour cette raison, d’ailleurs, que je décide de ne pas troubler ma vision avec un Lumos, avançant sous les simples rayons lunaires. Plongée dans des pensées suffisamment profondes pour me déconnecter totalement de l’environnement, j’en perds un court instant ma prudence. La cape non attachée glisse lentement mais sûrement, laissant le loisir à l'astre de la nuit de renvoyer sa lumière sur l'habit blanc. M'en rendant compte, j'envisage alors de m'abaisser, quand soudainement, un bruit met littéralement mes sens en alerte me stoppant dans mon élan. Des pas. Est-ce qu'il y a quelqu'un ? Est-ce que c'est le fantôme... dont parlent les gens ici ? Le vêtement entre les doigts, je me redresse très progressivement, cherchant encore du regard la provenance du bruit. Peut-être que je me fais des films, après tout, ça résonne énormément ici. Ce ne serait tout de même pas de chance de tomber sur quelqu'un à cette heure.

Faisons-nous discrète. Pas de Lumos.

”les lignes de dialogue entre { } sont exprimées en anglais.

make or break my day

RESUME RP

Dans l'épisode précédentLes choses bougent à Gargoule. Le fantôme du Roi Pêcheur terrorise les élèves et beaucoup d'entre eux se sont lancés à sa poursuite... ou plutôt sur l'enquête. Alban, lui, est plutôt partagé entre peur et curiosité. Il penche plutôt pour la seconde alors il tente de suivre les traces de son camarade et rival : Eugène. Opinion sur ces personnesIl a entendu beaucoup de choses sur Zsu, mais une chose est sure, ça n'a jamais été en bien. Beaucoup de personnes ont de la jalousie envers elle. Un fiancé haut placé, un sang-pur, certainement une grande richesse ou alors une disgrâce quelconque. Alban ne sait pas vraiment grand chose d'elle jusqu'à sa rencontre. Juste qu'elle a des ennemis et son comportement envers lui ne va rien arranger. Retrouvez moi sur

Un bruit. Un frémissement. Alban ouvra lentement ses yeux, encore piégé entre le royaume onirique et le monde réel. Il s'agissait de la deuxième fois. C'était la seconde fois qu'Eugène se levait au beau milieu de la nuit. Il savait que son collègue Griffedecoq enquêtait sur le fantôme. C'était un garçon intelligent qui tenait à savoir nombre de choses, il était curieux, mais surtout... il aimait avoir un coup d'avance. Ainsi, même si Alban désirait le suivre dans ses aventures non sans peser le pour et le contre, le brun ne le prévenait pas toujours de ses excursions. Surtout, s'il jugeait que cela n'était pas nécessaire.

Alban étant Alban, il n'allait bien entendu pas le laisser agir à sa guise. Autant qu'il voulait être le centre de l'attention, il voulait être au centre de l'action. Savoir qui fait quoi, savoir les derniers scandales, savoir qui est qui. En l'occurrence, on parle ici du fantôme du Roi Pêcheur. Cet être mystérieux qui terrorise tout le château.

Son premier réflexe fut de bouger ses mains, pour voir s'il en avait tout simplement. C'est étrange à dire, mais il aurait très bien pu se transformer dans son sommeil. C'est pour cela qu'il dort sous trois couches de couettes en plus de se tenir chaud, c'est pour donner de l'épaisseur à son lit. Il se félicita d'être sous forme humaine et attendit que le brun quitte la pièce avant de se lever lui. Il aurait très bien pu l'interpeller et imposer sa présence pour cette balade nocturne, mais il avait ce petit côté parano. Et si Eugène avait trouvé quelque chose d'intéressant et ne voulait pas le lui dire ? C'est possible. Ils ne sont pas amis, mais rivaux. Il préféra donc jouer la carte de la discrétion et puis.... si jamais il tombait sur quelque chose de scandaleux et croutillant, il pourrait le black mail.

Cette perspective réjouit son côté malicieux. Il enfila quelques vêtements noirs qui traînaient par là et se lança à sa poursuite.
Bien qu'il soit assez à l'aise dans le noir pour se mouvoir sans lumos, surtout grâce à la lumière de cette belle lune, il fut surpris qu'Eugène le sema bien vite. Cet enfoiré s'était sûrement caché dans un recoin au détour d'un virage. Mince... Il erra sur quelques couloirs, seul. Dans le noir. Avec un dangereux fantôme qui rôde. Il déglutit et commença à vraiment avoir peur avant d'entendre des bruits de pas. Il l'avait retrouvé ! Qui d'autre pour se balader à une heure si tardive ? Ce n'est pas qu'il eut un regain d'espoir, mais il fût assez rassuré par la perspective de retrouver son camarade qu'il piqua un sprint pour le rejoindre. Histoire de se rassurer. Histoire de potentiellement l'utiliser comme bouclier humain en cas d'attaque spectrale.

Ce fut cependant qu'au dernier comment, qu'il réalisa qu'il s'agissait d'une silhouette encapuchonnée, pire même, il aperçut un flash blanc sous ses vêtements... genre, comme un F-A-N-T-Ô-M-E. Il hurla sur l'instant et au lieu de s'arrêter, il lui rentra dedans à cause de la panique et de la frayeur engendrée par le malentendu. Il lui rentra dedans assez fort. Parfois, certaines personnes réagissent à la peur par des mouvements brusques et... ici, ce fut son cas.

À sa grande surprise, il ne traversa point le fantôme, mais le poussa contre un mur faisant tomber sa capuche pour révéler une longue chevelure et surtout, un magnifique visage éclairé par quelques rayons de l'astre lunaire. Il fronça les sourcils. Les fantômes, ça n'emporte pas de valises avec eux comme s'ils prévoyaient de partir en catimini.... et ce visage..... il le connaît ? Il faut dire qu'il connaît de visu pas mal de monde dans cette école, surtout les sang-pur et les gens populaires. En l'occurrence, elle ne coche qu'une de ces cases.
Ce n'est pas elle qui a un nom à rallonge ? Du genre.... Suzanne ? Ouai, appelons la Suzanne.

Il massa ses poignets douloureux, il faut dire qu'il lui était rentré dedans assez fort et cela avait le don de l'énerver. Il avait perdu celui qu'il suivait et il avait paniqué pour rien, encore. Alors, dans sa galanterie et sa mauvaise foi la plus pure, il fit ce qu'il savait le mieux faire.

Excuse-toi. Tu te prends pour qui comme ça à me rentrer dedans ? Du Alban. Me dis pas que.... t'es en train de te faire la malle avec cette valise ? Genre, tu quitte vraiment l'école ? Remarque, t'es majeures alors la tête de sanglier va pas te statufier.

Au départ, il ne lui parlait pas avec autant de mépris qu'il allait le faire par la suite. Elle restait une sang-pure et le contexte de rencontre aussi surprenante que fortuite était encore de mise. Il ne la voyait pas encore comme un outil utile pour lui servir, bien qu'une idée commençait à s'insinuer dans son esprit au fur et à mesure que son sourire se dessinait sur son visage de vipère.

Ce serait dommage que quelqu'un l'apprenne... j'imagine pas la disgrâce dans tous les journaux magiques...... tu me payes combien pour ton silence ?

Pourcentage de rage d'Alban avant...?

Alban vous bully en
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*Tableau des sortilèges (ordre alphabétique SVP)*
1	accio
2	alohomora
3	enervatum
4	expelliarmus
5	expulso
6	lumos
7	molliare
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*Tableau des sortilèges (ordre alphabétique SVP)*
1	accio
2	alohomora
3	enervatum
4	expelliarmus
5	expulso
6	lumos
7	molliare
8	nox
9	recurvit
10	reparo
11	reddikulusleviosa
12	wingardium leviosa
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*Tableau des sortilèges (ordre alphabétique SVP)*
1	Accio
2	Allohomora
3	Collaporta
4	Crache-Limaces
5	Expelliarmus
6	Expulso
7	Immobilus
8	Lumos
9	Nox
10	Recurvite
11	Reparo
12	Riddikilus
13	Wingardum Leviosa
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*Tableau des potions (ordre alphabétique SVP)*
1	P. d'aiguise-méninges
2	P. d’amnésie
3	P. de confusion
4	P. d'Enflure
5	Vap. de fatigue
6	R. contre furoncles
7	Herbicide
8	P. de ratatinage
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