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Bienvenue à Gargoule !

Mini-Event

L’attente est longue. Assise à la table de ta maison, tu écoutes d’une oreille distraite les commentaires de tes camarades alentours. Trois fois rien d’important. Tu apprend quelques informations sur les vacances des uns et des autres, sur les raisons impliquant leur coiffure du jour. Tu échanges toi-même quelques mots, à droite, à gauche. Tu souris aux quelques retrouvailles. Tu savoures ce début d’année, ces quelques minutes à la saveur si particulière. Mais au fond de toi, l’impatience bouillonne.

Un courant électrique qui te rend alerte, attentive à chaque bruit, chaque mouvement de foule indiquant le début de la cérémonie, jusqu’à ce qu’enfin la lumière projetée par les chandeliers s’amenuise. Si l’arrivée des première année ne te tire aucun crie, aucune acclamation, tes mains tapent pourtant de concert avec les autres à leur passage. Tu tend le cou, pour tenter d’apercevoir leurs visages en te demandant lesquels rejoindront cette table d’ici la fin de la soirée.

Doucement, chaque pièce du puzzle se met en place. Élèves, nouveaux et habitués, professeurs et intendants, tout semble coordonné par une mystérieuse chorégraphie, répétée année après année, destinée à ce que chacun occupe sa juste place dans ce tableau reproduit tous les septembre.

Le temps est long. La pièce maîtresse se fait attendre, dans un silence presque religieux. Le directeur est coutumier des entrées remarquées, mais celle-ci commence à tarder plus que de raison.

Lorsqu’enfin le corbeau perce le silence de son cri puissant, les visages se lèvent pour admirer l’oiseau au pelage de nuit. Le volatile se pose au sol, changeant d’apparence pour celle d’un homme à la figure négligée mais à la tenue flambant neuve. Une somptueuse robe, d’un noir étrange, dont les détails te sont rendus indiscernables par la distance.

Toute ouïe, tu écoutes avec attention le discours de bienvenue de Feudeymon. Comme à son habitude, l’animagus teinte le fond banal de ses paroles, qui se répètent d’année en année, de quelques plaisanteries malaisantes dont il a le secret. Ton esprit accroche néanmoins quelques phrases, quelques idées qui se réverbèrent en écho. Le savoir n’a pas de limite ; il suffit de l’employer à bon escient. Comment résumer en une phrase tout ce qu’incarne cette école à tes yeux.

Après un silence, Elias Feudeymon poursuit la cérémonie, tendant le flambeau des présentations à ses collègues du corps professoral. Tu reconnais les visages, les noms habituels des uns et des autres. Sauf une. Mademoiselle Beauvarlet, professeure de potion jusqu’à présente inconnue au bataillon. Tu espères, dans le cas où tu serais amenée à participer à ses cours, que ceux-ci seront de qualité.

Les présentations terminées, vient enfin la partie intéressante. Celle que tu redoutais, il y a trois ans, mais que tu as su apprécier les années qui ont suivies. La répartition des première année est sur le point de commencer. Le socle de pierre de la matriarche raclant sur le sol t’arrache quelques frissons. La statue s’arrête, face à la salle qu’elle observe d’un oeil analyste. Tu sentirais presque son regard se poser sur toi, personnellement. Peut être est-ce le cas, comme pour chacun de tes camarades ici présents.

La voix de la créature rugit à travers la grande salle. La gargouille t’amuse. Elle t’intimide aussi. Mais son franc parler t’évoque, malgré la dureté certaine de ses mots, un élan de sympathie. Toi même, tu as la chance de ne pas avoir passer un trop mauvais quart d’heure entre ses griffes.

Le premier année ouvrant le bal s’avance vers la créature. Le discours de la caillasse est tel que tu t’en souvenais. Dure, taquin, souvent gratuitement, mais avec, dans le fond, beaucoup de sagesse. Et c’est une victoire pour Griffdecoq ! A l’instar de tes camarades tu accueilles ce nouveau venu qui arbore désormais les couleurs de votre maison.

En revanche, si le second rejoint également la table sous les étendards verts, cela sonne d’avantage comme une défaite à tes yeux. La mâchoire t’en tomberait bientôt, à l’écoute du sermon, quasi une humiliation en place publique, proféré par la mère Gargoule. Tu doutes qu’un élève si tôt aligné si violemment soit une bonne recrue pour la maison.

La suite de la répartition se déroule comme de coutume. Les élèves rejoignent un à un les différentes tables, les applaudissements vont et viennent et les discours de la statue ne changent nullement de ton. Rapidement, la foule des nouveaux étudiants se dissipe, à mesure qu’ils se voient assigner leurs nouvelles couleurs. L’excitation quelque peu dissipée, tu attends patiemment que la cérémonie s’enchaîne sur la suite des évènements.

HRP :
En résumé... Alice est juste assise à table et est attentive à la cérémonie.

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bienvenue à gargoule !

ft. everyone

Un sourire vif avait marqué ses traits lorsqu'il avait franchi le portail, et avalé sous ses pas galvanisés les derniers mètres qui le séparaient de l'entrée. Quand bien même il lui semblait être arrivé tôt, l'animation battait déjà son plein. Les plus âgés, ceux qui avaient déjà fréquenté Gargoule et y avaient établi leurs repères, retrouvaient déjà leurs pairs – on les voyait échanger des accolades chaleureuses ou des poignées de mains vigoureuses ; leurs voix tendaient à porter plus haut, plus loin, plus fort. Sans le vouloir, on parvenait sans peine à suivre des bribes de conversations – banales à en mourir et qui ressemblaient à tous les échanges du premier jour de chaque année scolaire du monde Moldu. Et, pourtant, c'était cette effervescence simple et universelle qui le grisait d'une étrange façon – comme la tendre sensation de retrouver un secret confortable et bien gardé, et de se lover dans ses coussins moelleux.

Abandonnant dans l'entrée ses bagages, il ne songea cependant pas un seul instant à se séparer de Phosphène, discrètement blottie dans sa capuche. Un dernier coup d'œil glissé à son iMagix plus tard, puis enfourné dans sa poche, il était entré dans la grande salle. Bruyante, agitée… Malgré lui, Roman ne put réprimer l'esquisse d'une grimace. D'une certaine façon, il lui tardait que le pire de l'animation soit passée, que le brasier se soit mué en incandescence tamisée. Que l'on puisse de nouveau s'entendre penser…
Un éclat de voix qui prononçait son nom par dessus le tumulte de la salle attira son attention vers la table de ses pairs Dandeloup, où ses camarades l'attendaient. Des potes, oubliés le temps d'un été, mais qui redevenaient repère facile dès lors que l'heure de la rentrée sonnait. Des gens avec qui il n'écrirait pas de grandes épopées… Redessinant sur ses lèvres un sourire composé, le troisième année les rejoignit sans rechigner.

Il n'écoutait que d'une oreille distraite les conversations de ceux qui l'entouraient. Son regard, lui, cherchait les visages familiers des autres tablées. Une seconde, ses prunelles avaient accroché celles d'un Célénor aux iris cérulés – mais à son salut de la main et à son sourire n'avait répondu qu'une fuite qui l'avait laissé brièvement déçu. Les vacances n'avaient visiblement pas brusquement fait de Rowann un ami dévoué.
Abandonnant là ses investigations de toute façon vouée à l'échec de par les circonstances, Roman se plia au jeu des convenances et des bavardages aussi volatiles qu'indigestes, jusqu'à ce qu'une ombre arrache à la salle un hoquet surpris et force le volume des voix à diminuer sous la force de la stupeur volée.
Elias Feudeymon venait de faire son entrée.

Indéchiffrable et paré d'une élégante robe… noire ? Roman ne put s'empêcher de froncer les sourcils, perplexe. Il n'avait pas souvenir d'avoir déjà admiré leur directeur habillé de tant d'austérité. L'habit n'était pas que velours noble ; il éveillait chez le jeune Dandeloup un malaise difficile à expliquer. Quelque chose le dérangeait, mais il n'aurait pas su comment le formuler. Il n'eut de toute façon pas le loisir d'y réfléchir longuement – l'homme, dans toute sa splendeur, leur avait fait la démonstration d'un Sonorus dans son contre-exemple d'excellence le plus bruyant. « Aouch... » Sa grimace s'était jointe à celles des autres, puis son rire. « Ça, du coup, c'était la leçon numéro un de : comment ne pas utiliser un Sonorus en public, je présume ?... » Le coup de coude qu'il reçut dans le bras le fit s'esclaffer, puis il se tu, attentif au discours qui s'entamait.

« Et j'ose sincèrement espérer que l'éducation que vous recevrez en ces lieux vous révèlera des chemins insoupçonnés, éveillera en vous des sentiments rares et magnifiques, des idées précieuses qui changeront le monde… En peu de mot, je souhaite que Gargoule ouvre le champ de l'impossible. » Roman avait légèrement incliné la tête. Le silence solennel, son poing s'était subtilement serré sur sa cuisse, dissimulé par la nappe rougeoyante. « Apprenez donc à ressentir la magie qui vous entoure. À la vivre de l'intérieur, à la sculpter pour faire d'elle votre meilleure amie, cette partenaire fidèle qui vous épaulera tout au long de votre existence. Dehors, on vous dit de la craindre, de vous en méfier. Mais au sein de ce château, je souhaite lever ces rideaux qui voilent la connaissance. » Malgré lui, Roman avait fermé les yeux. La magie qui les entourait... C'était bien plus que ça. Elle était en eux, cette magie ; coulée dans leurs veines et leur vermeil sacré. Les paupières closes, s'il y mettait un peu du sien, niant sa crainte au profit d'une brève extase, il parvenait à déchiffrer des images et des sensations qui n'étaient pas les siennes et qu'on ne lui avait pas autorisé à parcourir. Elles étaient brèves mais se ressemblaient toutes dans leurs simplicité la plus superficielle – nervosité, impatience, inquiétude, excitation, nostalgie.
Fouiller les détails ne l'intéressait pas. C'était cette ivresse singulière, celle de surface et qu'on ne dissimulait pas, qui lui suffisait. Il n'avait pas besoin des secrets…

Lorsqu'il rouvrit les yeux, il ne prit même pas la peine de s'assurer qu'on ne l'avait pas remarqué. Ses prunelles, sans s'inquiéter des regards qu'on aurait pu lui lancer, s'étaient aussitôt braquées sur les enseignants qui alignaient leurs présentations. Simples, sans fioritures si l'on oubliait la plaisanterie du professeur Wilson. Des visages familiers et d'autres que l'on découvrait tout juste – il n'osait imaginer ce que c'était que de se tenir debout face à tant de paires d'yeux que vous étiez censés emplir d'un savoir intarissable. L'admiration franche qu'il portait au métier d'enseignant transparaissait aisément dans son attention, son silence respectueux, sa dévotion quand il s'agissait de participer en cours au nom de ceux qui ne prenaient jamais la parole – c'était sa façon à lui de leur dire merci, de ne pas les laisser se passionner seuls pour se heurter sur des silences glaçants.

Puis, vint le moment tant attendu. Celui qui arrachait toujours des rictus aux anciens ; même les deuxième année n'y échappaient pas. On déchiffrait sur le visage de certains cette satisfaction taquine à voir que, cette année, c'était au tour d'autres de subir les humeurs de Mère Gargoule. Comme une revanche bien méritée… Même Roman n'aurait pu nier l'étincelle dans ses prunelles qui en disait trop long sur ce qu'il pensait. Ce rite d'initiation-là remplaçait sans doute les journées d'intégration farinées des écoles Moldues, d'une certaine façon…
Son regard, malgré lui, avait toisé avec peu d'affection des jeunots qui avaient été envoyés à Griffdecoq. Il ne les avait jamais porté dans son cœur, et les palabres de Mère Gargoule lui rappelaient sans cesse pourquoi, avant même que les nouveaux verts n'aient eu le temps de prononcer le moindre mot pour se défendre des préjugés que Roman leur portait.
Les noms s'emmêlaient, les discours se ressemblaient mais pas tant. Récurrences, redondances – on comprenait à force d'écouter les patterns des maisons. Son intérêt s'était ravivé sur les répartitions de certains Jasper et William, qu'il avait suivi des yeux jusqu'à la table des Célénor.

Célénor...
À dire vrai, lorsqu'il était arrivé, et en écoutant ceux qui le précédaient être répartis, il s'était intimement persuadé qu'il serait à son tour décoré de cérulé. Parce qu'il était artiste, et qu'il s'était toujours senti différent, de côté, décalé, pas assez comme les autres aux fins fonds de son cœur pour être en parfaite cohésion avec le monde. Aujourd'hui encore, et bien qu'il s'était profondément attaché aux Dandeloups, il lui restait sur son palais comme un relent d'amertume bien dissimulé. Persuadé qu'une fois de plus, les apparences qu'il se donnait et cette extraversion forcée qui n'était pas tout à fait lui avaient suffi à berner le monde entier. Mère Gargoule prétendait lire dans l'âme et le cœur des gens ; le sien, pourtant, tout entier, lui semblait appartenir avec déraison aux Célénor tant aimés. Peu importait aujourd'hui, il s'en était accommodé… Mais il ne comprenait toujours pas ce qu'elle avait lu en lui qui l'avait projeté ici, au milieu de ces extravertis aventureux auxquels il était persuadé de ne pas ressembler. Peut-être la rage vaine, peut-être la colère… Ce ne pouvait pas être son rire encore trop discret qui l'avait jeté là.
Une œillade supplémentaire en direction des nouveaux Griffedecoq avait ramené à sa mémoire des mots qui lui arrachèrent une moue agacée (rien de plus qu'un peu d'agacement ; elle lui avait épargné le pire qu'elle avait réservé à d'autres, ou peut-être simplement qu'il n'y avait pas été si réceptif que ça). Cherche p'têtre quand même à élargir tes horizons. R'gard' pas toujours ceux qu'ont pas les mêmes opinions qu'toi comme des demeurés. Ça pourrait bien t'faire défaut.
Il fallait croire qu'en deux ans, il n'avait peut-être pas tant changé qu'il l'espérait…

▬ Roman rejoint la grande salle, et plus précisément la table des Dandeloups.
▬ Il s'inquiète un peu de la tenue d'Elias, qu'il n'a jamais connu aussi peu affriolant qu'en all black.
▬ Il profite du moment et du discours d'Elias sur la magie pour déclencher un peu de son don Legilimens ; il capte juste le maelstrom de stress, d'impatience, d'excitation du moment, il cherche pas plus loin, juste que ça l'fait un peu kiffer à la façon d'un shot bien dosé mdr
▬ Vient la répartition, il toise un peu mal ceux qui sont envoyés chez Griffdecoq, avec un peu plus de tendresse ceux qui sont envoyés chez Célénor
▬ Ça lui rappelle son propre seum de sa répartition, du coup il ressasse un peu mais c'est ok. Elle a été moins virulente avec lui qu'avec d'autres, la Mère Gargoule, il s'en est pas trop mal sorti mdr

MINI EVENT#1

IV – LE GRAND REPAS

La répartition des nouveaux arrivants est terminée. Si Mère Gargoule a plongé l’assemblée dans un lourd silence gêné, elle ne semble pas s’en vouloir le moins du monde - au contraire, il semblerait presque qu’elle ricane dans son horrible main griffue. De toute évidence, ce rôle offert gracieusement par Elias Feudeymon est une véritable petite satisfaction personnelle pour cette vilaine gargouille. La voilà d’ailleurs qui pivote sur lui-même et disparaît à nouveau dans les ténèbres de la Grande Salle, accompagnée par une multitude de petites gargouilles grouillant sur les murs et le plafond. Galant, Elias raccompagne Mère Gargoule jusqu’à sa petite chambre, semblant échanger quelques mots à voix basse. Qui sait ce que ces deux êtres étranges peuvent bien se dire ..? Peut-être est-il préférable de ne pas le savoir.

Petit à petit, les discussions reprennent dans la Grande Salle. Mère Gargoule partie, l’atmosphère semble s’alléger et les langues se délier. Les nouvelles recrues de chaque maison se permettent enfin de se présenter, fraternisant avec ceux qui seront leurs colocataires pour les années à venir. Les anciens, eux, débattent sur l’intervention de la vieille gargouille, se souvenant chacun à leur manière leur propre répartition, rassurant même les plus jeunes encore secoués par cette expérience unique et bien peu agréable. Puisque Elias tarde à revenir, chacun y va de sa petite discussion, l’estomac dans les talons. L’heure du repas tarde, il commence à se faire tard … et les ventres rouspètent en chœur ! Quelques élèves jettent des coups d'œils furtifs à la grande porte, semblant guetter quelque chose. Une nouvelle intervention ? Les plus affamés espèrent bien que non : le protocole habituel veut que le grand repas de bienvenue suive la répartition des premières années. Il est l’heure de manger maintenant, et non plus d’écouter quelque parlotte que ce soit.

Un bon quart d’heure après sa disparition, Elias revient comme une fleur, un petit sourire au coin des lèvres. D’un élégant geste du bras, il pointe à nouveau sa gorge de sa baguette, présageant un nouveau Sonorus. Les plus prudents se bouchent d’avance les oreilles - hors de question de se laisser surprendre une nouvelle fois !

▬ Ah, cette chère Mère Gargoule ! Toujours aussi charmante ! Les années passent et elle reste égale à elle-même. Comme je l’envie ! Un petit rire secoue les épaules du directeur, mais de toute évidence, personne ne partage son enthousiasme. En tout cas, j’espère que nos nouveaux petits arrivants sont heureux d’avoir rejoint leur maison. Si cela peut être impressionnant dans un premier temps, sachez que vos aînés seront là pour vous guider tout le long de l’année. Le principe des maisons réside justement dans l’entraide et l’importance de la vie en communauté. Alors mêlez vous aux autres, soyez curieux, et faites de nouvelles rencontres ! Vous n’en ressortirez que grandi.

De larges sourires fleurissent par-ci par-là dans l’assemblée. Il est vrai que les maisons représentent beaucoup aux yeux des élèves. Elles sont comme un deuxième foyer, composées de membres hauts en couleur qui deviendront pour la plupart de bons amis. Si de petites rivalités naissent parfois entre les Griffdecoqs, les Chardargents, des Célénors et les Dandeloups, elles restent bon enfant, dans un esprit très sport. Si la comparaison avec Poulard semble facile, Elias a su apporter sa petite touche personnelle aux maisons de Gargoule. Ainsi n’ont-elles absolument rien à envier au collège anglophone - n’en déplaisent à ceux qui pensent le contraire.

▬ Qu’entends-je ? Ces borborygmes viennent-ils donc de vos estomacs ? Ah, mais en effet, il est déjà si tard ! Loin de moi l’idée de vous affamer dès le premier soir ! Allons, allons, faites entrer les plats !

Et alors, la double porte de la Grande Salle s’ouvre d’elle-même, libérant le passage à toute une procession de vaisselles. Il y a d’abord les assiettes et les couverts, qui se dandinent gaiement avant de sauter sur les tables, en face de chaque élèves et membres du personnel. S’en suivent les verres, qui effectuent un véritable ballet aérien digne d’une procession d’Abraxans en provenance de Beauxbâtons. Et enfin … arrivent les cloches en magnifique métal ouvragé, lévitant les unes à la suite des autres, dans une marche lente et paisible, comparable à celle d’un éléphant. Déjà, les délicieuses odeurs des plats se faufilent jusqu’aux narines et excitent les papilles. Et tandis que la procession avance, certaines cloches quittent le convoi pour bondir sur les tables et dévoiler leurs délicieux contenus. Pour la rentrée, le personnel des cuisines à mis les petits plats dans les grands. Viandes en sauce, légumes de saison, poissons frais, spécialités d’ici et d’ailleurs … C’est un véritable festin qui se présente aux occupants de la Grande Salle de Gargoule. Bientôt, toutes les tables sont envahis de mets à l’odeur alléchante, promesse d’un repas comme nulle autre pareil.

▬ Chers élèves, chers professeur, cher personnel … Je vous souhaite bon appétit !

EXPLICATIONS

Nous entrons dans l'étape trois de notre évent de rentrée ! Qu'est-ce que ça passe vite ! omgwtf

Avant de passer aux petites explications, je me permets une petite mention d'honneur à nos petits A1 traumatisés par Mère Gargoule. mouhehe

Je dois bien avouer avoir eu un malsain plaisir à lire vos réactions, d'autant qu'elles étaient toutes différentes et bien écrites ! Bravo à vous les enfants ! vicieux

Et bien évidemment, merci à vous pour votre participation à cette nouvelle étape, c'était vraiment chouette ! victoire

Nous entrons désormais une phase de RP libre ! Le dîner est servi, vos personnages sont affamés ... il est l'heure de se remplir la panse tout en discutant avec les autres. Vous êtes libres de répondre dans l'ordre que vous souhaitez, sans limite si ce n'est celle de la date. Vous êtes libres de naviguer entre les tables, de papoter les uns avec les autres... Bref, pas d'ordre à respecter ou de gargouille à craindre !

D'ailleurs, histoire de rendre les choses plus faciles pour tout le monde, à la fin de vos réponses, faites un petit résumé très simple et rapide des actions de votre personnage. Cela permet aux autres membres de savoir rapidement ce qu'il s'est passé dans votre réponse. Ce sera plus simple pour tout le monde étant donné que nous sommes nombreux dans cet évent. blush

Cette phrase dure jusqu'au samedi 25 septembre compris ! Eh oui, ça laisse bien plus de temps et d'occasion de bavarder tous ensembles, alors profitez-en ! blush

Bon RP et au plaisir de vous lire !! owi

Bienvenue à Gargoule !

La cérémonie de répartition m'apparaît en soit telle l’une des ces innombrable soirée mondaine, l’excentricité d’Elias et le trauma des première années en plus. C’est toujours plus ou moins la même rengaine, avec le discours, les présentations, la répartition puis le repas et comme pour tout événement de la sorte, j’adopte ce sourire mécanique et cette oreille aux aguets pour le cas où une parole me serait adressée. Pourtant ma présence, elle, n’est pas là. Plutôt que de dîner j’ai surtout hâte de découvrir le programme de l’année et de commencer à travailler.

Il est vrai que je suis un peu surpris par la tenue plus sombre du proviseur et par son retard mais il ne semble pas franchement inquiet ou malheureux. Sûrement une nouvelle lubie. Son discours reste plus ou moins dans les mêmes tons que ceux d’avant. Les professeurs se présentent à leur tour où le sont par Elias. Quelques nouvelles têtes, d’autres plus anciennes,... Il faudra attendre de voir s' ils sont à la hauteur des demandes des élèves. Autant je reconnais que certains professeurs sont bien choisis, autant j’ai du mal avec d'autres qui me semblent trop souples, très doux ou trop excentriques. Un professeur doit enseigner, pas être une nounou.

La vieille Gargouille de Gargoule prend la suite. Toujours aussi vulgaire et aussi laide. Je n’aime pas cette créature et aux réactions de ceux qui se font attraper la main, je ne suis apparemment pas le seul. Beaucoup rient du malheur des nouveaux et des vacheries qui se mélangent aux “conseils” de celle-ci. Personnellement je ne vois pas ce qui est drôle. Cette chose fouille au fond de toi sans aucune permission et ressort le tout à haute voix. Je me souviens encore parfaitement de ces paroles : “Quoi, tu n'aimes pas les gens ?”... Ce n’est pas que j’aime pas les gens, mais qu’il faut que je les apprécie différemment les uns des autres… Sur le coup, j’ai pensé que les efforts de mes parents avaient été réduits à néant avec cette simple phrase, qu’elle pouvait être interprétée d’une mauvaise façon mais heureusement, les gens ont surtout rit du reste et moi… Moi je me suis senti bien honteux. Non, vraiment, je n’aime pas cette chose.

Les réparations faîtes, Elias disparut un instant avec la Gargouille pendant que le brouhaha commençait à s’élever, chaque maison venant s’intéresser aux nouveaux venus de leur couleur. J’offre un sourire poli aux nôtres avant de replonger dans le petit livre que j’ai embarqué le temps que le proviseur reviennent et que le service se fasse. Le mélange de flots de paroles me fatigue déjà, ce n’est pas pour rien que pendant l’année scolaire, j’évite au maximum la cour et le réfectoire pendant les heures de pointe. Sans compter que dans le lot, il y a toujours des maladroits qui se salissent ou des pauvres aux vêtements mal rapiécés… Que des choses qui font tiquer mon esprit ordonné.

Enfin Elias revient et, à son appel, la vaisselle et le repas font de même. Je mets mon marque page, range le petit ouvrage qui disparaît dans la poche sans fond de ma robe de sorcier et attend patiemment que tout soit bien placé sur les tables. Certains ont moins de politesse et pique de la nourriture dès que c’est à leur portée… C’est.. Désagréable à voir. Poliment, je souhaite un bon appétit à la tablée - et à qui veut l’entendre - avant de prendre mon temps pour choisir parmi tous les mets proposés. C’est qu’il faut que je prenne des aliments équilibrés pour garder un corps sain. Les plats se réduisent vite, les élèves se jetant presque littéralement dessus de faim. Ah… Vraiment, le savoir vivre se dégrade d’année en année.

Résumé : Louis "écoute" sagement, souhaite un rapide sourire poli de bienvenue aux Chadargents puis tente de se sustenter seulement, il a toujours un petit souci avec ce genre d’endroit bondé, bruyant et où certains manquent de bonnes manières. Bref, il n'est pas à l’aise.

Codage par Libella sur Graphiorum

Bienvenue à Gargoule !
Event

La répartition terminée, le directeur ne tarde pas à se pointer une nouvelle fois pour parler encore un peu. William qui semble être tombé dans la même maison que toi et ton frangin, vous adresse un sourire polie muni d'une d'une salutation. Sans réfléchire sur le coup, vous avez répondu d'une même voix un " Hey ! C'est super de te voir ici, William ! " ...Avant de vous regarder tout deux d'un air blasé. C'est pas possible , il faut vraiment que vous arrêtiez de parler en même temps tout les deux.

Après, tu écoutes un peu ce raconte raconte le directeur, jusqu'à ce que ton attention se détourne un peu en entendant ton ventre se mettre à râler....Tout ce qui vient de se passer vient probablement de te donner faim et des regards que tu sembles apercevoir autour de toi, les plus âgés semblent guetter quelque chose d'assez important.

Tu ne tardes pas à comprendre en voyant une animation digne du film "la belle et la bête " se dérouler sous tes yeux. Cela ne t'empêche d'assister à tout ceux en étant grandement amusé , au moins, ça ne te fait plus penser aux paroles de la mère gargoule, bien que celles-ci risques de tourner en boucle dans ta petite caboche pendant quelques jours.

Lorsque les plats ainsi que les couverts sont mis sur table, tu ne te gêne pas pour te servir un bon gros mélange dans ton assiette...Non sans loucher un peu dessus à la fin. Bon, tu t'es probablement un peu trop servi. Est-ce que tu pourras ramener les restes à ton chat à la fin?

Ton regard se perd cependant une nouvelle fois dans la salle. Certains commencent déjà se lever pour rejoindre des connaissances, ou juste, des camarades dans d'autres maisons. Pour l'instant, mise à part quelques têtes...Tu te vois mal accoster des personnes au total hasard aussi. Il y'avait qui de Beauxbatons déjà? AH OUI ! Le fameux Alban ! Mais...Hm....Tu ne préfères pas trop l'approcher celui là pour le moment. Reste avec les Célénors pour l'instant Jasper, ce sera déjà pas mal.

-....Est-ce que tu as vu ? Il y'a même Chevalier qui entame son année ici !

Finis-tu par lâcher, après avoir planter ta fourchette dans un bout de viande dans ton assiette . Tu aurais aimé plutôt tourner ta phrase dans le sens du "Il y'a Chevalier qui est ici également, est-ce que ça va allez pour toi? "Mais c'est la rentrée, tu ne voulais pas commencer à parler de mauvaises choses...Et tu ne veux pas forcer la discussion non plus, c'était juste une tentative. Tu te sentais déjà bien mieux dans cette grande salle qui est désormais devenu bruyante.

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-Jasper répond à la salutation de William en même temps que son frère.
-Puis il décide de manger, afin de ne plus s'accaparer l'esprit des paroles dites à la répartition.
-Il fait une petite tentative pour parler à son camarade de Beauxbatons, en évitant de montrer qu'il s'inquiète quand même un chouille-
-Pour le moment, Jasper préfère rester à table.

Emme's Codes

Mini-Event #1 — Bienvenue à Gargoule !
Feat: plein de gens

Lorsque tu entendis les deux jumeaux s'exprimer en choeur, cela te fit sourire, oui, tu te souviens bien de ça. Déjà à Beauxbâtons cela leur arrivait souvent. Et pourtant....encore une fois, tout au fond, tu ressentais cette envie. Toi, ça ne t'arrivais pas avec ton jumeau. Quand vous étiez tout petit oui....et puis ça s'est arrêté parce que vous étiez trop différent...? Quand? Quand il a pris la décision de te protéger? Tu entends encore cette voix de l'époque après les avoir saluer une fois qu'ils soient partis se tourner vers toi avec un sourire malicieux.
"Aaaaw tu es jaloux d'eux? Tu ne devrais pas pourtant, je les plains. Ce sont juste des pâles copies d'eux-même, ce n'est pas être fusionnels, c'est juste être des clones. Tandis que nous, nous sommes des opposés. On se complète, une fois réunis nous sommes entier. Je ne suis rien sans toi et tu n'es rien sans moi. C'est aussi simple que ça."

Tu n'es rien sans moi.

Bref bref breeeeef. Finalement il décide de ne pas trop s'éloigner de lui...les autres....lui font peur? Non pas vraiment, il angoisse juste un peu. Ce n'est pas aussi facile que cela de se mêler à de parfaits inconnus. Après il ne veut pas imposer sa présence et surtout, suuuurtooouuut qu'on soit gentil avec lui parce que......parce que. Tout est à présent finit. On dirait que la mauvaise ambiance est retombé....aaaah....un poids s'enlève au creux de son estomac....pour être remplacé par un autre. C'est qu'il a un peu faim le bougre. Y aurait pas des sucettes? Des friandises? Du chocolat? Des desserts quoi? Parce que le salé....c'est bof! Lui il est plus sucré m'voyez? Il ne remarque même pas l'absence du directeur, il est tellement stressé et....oui encore un peu en colère par rapport à cette gargouille. Attendez.....il a l'impression....qu'elle a parlée assez fort. Est-ce que tout le monde a entendu leur conversation? C'est.....pas vraiment super d'humilier les gens comme ça devant tout le monde. Peut-être s'est-il trompé sur ses intentions? Peut-être qu'elle ne faisait pas cela pour les aider et les réconforter mais les descendre au yeux de tous? Il ne sait pas trop. Ou jouer? Un peu comme faisait Liam, comme si elle se fichait bien de leurs états d'âme?

Enfin...il ne sait pas trop ce qui passe par la tête de cette gargouille....et puis c'est classé dans quoi gargouille, c'est une créature magique? Lui qui aime les créatures magiques parfois il a l'impression d'être un peu largué dans le sujet. Ah tient, voilà que le directeur reprend la parole et essaye de les rassurer et ses paroles touchent le garçon qui acquiesce, oui, c'est vrai, s'ouvrir aux autres, c'est ce qu'il va faire....ou au moins faire semblant! Il va leur offrir de bonnes séances de rires! Enfin, après avoir manger, cela va de soi! Alors lors du spectacles des couverts, ces yeux s'illuminent d'admiration. Trop bien!! Il veut savoir faire ça lui aussi! Ça a le mérite de le faire sourire gaiement et commencer à se précipiter vers les gâteaux et pâtisseries à défaut de confiseries une fois les plats apparues.

▬ ....Est-ce que tu as vu ? Il y a même Chevalier qui entame son année ici !

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Flashback

Chevalier Alban? Nan ce n'est pas mon ami, je n'en ai pas. Je t'ai déjà dit que ça ne m'intéresse pas. Tu as peur de lui?

Mais alors pourquoi...pourquoi trainer avec lui? Il ne comprenait pas...pourquoi est-ce que son frère se fiche d'avoir des amis? Parce qu'il l'a lui? Mais lorsqu'ils mèneront leur vie....chacun de leur côté....que se passera-t-il? Voilà ce qu'il se pensait à l'époque de Beauxbâtons. alors que son frère était toujours très calme face à l'avenir, William au contraire en était terrifié.

Ne t'inquiète pas...ce type est une grosse blague. Il me fait pitié. C'est une grosse victime, il se fait autant dessus que ceux qu'il agresse.

Qu'est-ce qu'il racontait...c'est un bully! Enfin...son frère n'était pas mieux mais...comment pouvait-il savoir tout ça, hein?

Comment je le sais? Tu ne le vois pas Will? Je ne pourrais pas t'expliquer...c'est comme un livre ouvert, surtout lui. Tu sais lui aussi ne me considère pas comme un ami, je pense même qu'il a peur de moi. Tu aurais dû voir la tête qu'il a tiré la dernière fois que je lui ai dit de me remplacer pour faire voltiger un élève.

*******************************

Le brun avait tourné son regard vers le blond au loin avec un petit pincement au coeur. Lui, il a de la peine pour lui. C'est certainement bizarre et ce n'est pas malin d'être empathique envers ce genre de personne...mais....chacun pourrait être une bonne personne s'il faisait un effort, non? Son frère n'était pas qu'un bully....il était aussi un frère. Il était si attentionné, si doux....peut-être qu'Alban pouvait être aussi ainsi avec des personnes qu'il apprécierait? Tel que ses parents ou de vrais amis? Oh bien sûr, ce n'est pas pour cela qu'il ne se sentait pas stressé en sa présence et n'avait pas peur de finir par se faire traiter comme un punchingball mais....si seulement...tout le monde pouvait s'entendre et être heureux, rire, sans se prendre la tête. Alors il continue à manger puis tourne son regard vers les jumeaux avec un sourire qui ne présage rien de bon. Le genre de sourire de quelqu'un qui vient d'avoir une idée lumineuse. Le voilà faire discrètement un wingardium leviosa sur un beau plat de viande en sauce. Si certains Celenors se tournent vers lui, il leur fait signe de se taire en mettant un doigt sur ses lèvres. Et il ammène le plat jusqu'à la table des griffdecoqs en espérant que personne ne le remarque pas avant de lâcher simplement le plat en plein milieu pour bien asperger de sauce les élèves pour se marrer. Avant de s'écrier.

BATAILLE DE BOUFFE!!!

Quoi? Comment ça? Déjà?! Oui, William foutait déjà la merde et en plus se faisait remarquer! Oh il ne le faisait pas pour ça, il voulait détendre l'atmosphère et la rendre bonne enfant. Est-ce qu'il allait avoir des ennuis? Peut-être. Mais il s'en fichait bien. Il était là pour s'amuser, et rien de plus marrant que de lancer de la purée à la tronche d'un de ses voisins ou à la table des dandeloups. Oui, tout le monde serait arrosé! Celenor, dandeloup, chadargent, griffdecoq, il n'oublierait personne pour bien montrer que ce n'était pas un règlement de compte.

William se remémore certaines remarques de son frère au sujet de Jasper et son frère jumeau ainsi que d'Alban.
Il se met à manger et décide de détendre l'ambiance en lâchant un plat de viande en sauce sur la table de Griffdecoq.
Puis il déclenche une bagarre de bouffe en lançant de la purée sur ces voisins et des gens à table des dandeloups puis fait pareil pour les chadargents.
Bref, le chaos s'installe.

Emme

MINI EVENT 1
BIENVENUE À
GARGOULE

FT. GARGOULE

- Mais c’qu’elle est épeurante Mère Gargouille, sérieux. En vrai j’espérais qu’c’était mieux quand on y passe pas aussi, mais… non. Quel trauma collectif.
Alors là, tu ne pouvais totalement pas dire le contraire à ton ami. Tu te rappelais ta propre cérémonie, avec une touche de macabre et masochisme. Mère Gargouille... Tout un personnage.

Puis, tu aperçus Roman au loin, à l'autre bout de la table des Dandeloups. Saluant ton ami d'année d'un mouvement du bras, tu lui souris. Roman n'était pas une personne extrêmement extravertie, et tu comprenais que ce dernier n'était pas complètement à l'aise parmi les gros groupes, alors cela ne te surpris pas qu'il ne vienne pas s'asseoir au grand centre de l'attention. C'était néanmoins une joie de le revoir.

Alors que tu profitais du diner à votre disposition, tu parlais de tout et de rien avec tes amis présents. Tu avais eu la joie de voir Liang pendant un bout de l'été, mais n'ayant pas vu Jean-Loup, tu profitais de ce moment pour te renseigner le plus possible auprès de ton ami Québécois. Entendre ses périples à la ferme était un pure délice, et rien n'aurait pu rendre cette soirée encore meilleure. Ou... Enfin, c'est ce que tu pensais. Ce que tu pensais avant que tu ne reçoives une purée de patate au derrière de la tête.

Manquant de te manger ton assiette en pleine gueule, tu restas figé pendant un moment, surpris par dessus les mesures possibles. Puis... Lentement, mais sûrement, un rire se faufila au travers de ta gorge. Finissant en full-blown rire, tu ramassas le morceau de pomme de terre qui te glissa le long du cou. Faisant volteface, tout sourire, tu posas un pied sur le banc où tes fesses étaient il y avait à peine quelques secondes, te soulevant de cette manière par-dessus les autres.
- THAT'S THAT! WHO THREW THAT?¹
Alors que tes mots auraient pu en intimider certain, le gros sourire connard qui s'étendait sur ton visage en disait plutôt le contraire.

Faisant voleter un boule de soupe, tu la lanças vers la table des Griffdecoq. En recherche d'une cible? Vise les Griffdecoq, c'était ta devise. Après tout, la rivalité entre les deux maisons n'étaient peut-être pas un tel niveau que les fameuses maisons de Poudlard, mais il était indéniable qu'il existait un truc entre vos maisons. Et si tu n'étais pas un peu compétitif, qui étais-tu?

Atteignant un membre des coq, tu laissas sortir un "Whoop" en conséquence. Avais-tu l'air d'un dernière année? Non. Et?

══════*.·:·.☽✧ ✦ ✧☾.·:·.*══════

¹C'EST BON! QUI A LANCÉ ÇA?

══════*.·:·.☽✧ ✦ ✧☾.·:·.*══════

✧ RIGEL dit bonjour à ROMAN lorsque ce dernier s'asseoit
✧ Il discute quelques moments avec LIANG et JEAN-LOUP
✧ Tout a coup il se prend de la bouffe lancée par WILLIAM
✧ En réponse, il se lève, pose un pied sur son banc et YEET de la bouffe vers les GRIFFDECOQ
✧ Il atteint QUELQU'UN (Libre à vous de vous identifier >:DD)

by emme

Bienvenue à
Gargoule

feat. Everyone

C’était presque étrange, de non seulement assister à la répartition d’un point de vue externe, mais également de pouvoir actuellement comprendre ce que Mère Gargouille racontait, contrairement à l’année précédente. Une chose était sûre; on n’avait pas exagéré quand on lui avait répété le genre de trucs que cette dernière aimait bien balancer à la tête de petits nouveaux sur lesquels elle arrivait à mettre sa patte crochue. Même de là où il était, assis à sa table loin de l’action, il lui était impossible de ne pas ressentir le malaise pesant qui semblait animer la majorité du corps étudiant.

Trauma collectif, ce n’était pas peu dire.

Applaudissant pour les nouveaux arrivés à Gargoule, le tout avec un peu plus d’enthousiasme pour les premières années envoyés chez les Dandeloups, Liang en profita pour échanger quelques commentaires ici et là avec ses amis lorsque la gargouille analysait un élève qui semblait particulièrement intéressant.

Puis éventuellement, la partie sans doute la plus importante de la Cérémonie de Répartition se termina enfin, et à sa place, l’attente commença. Une bonne quinzaine de minutes d’attente, pour être exact, alors que le directeur et Mère Gargoule s’étaient fait la malle sans aucune explication. Et s’il n’avait aucun problème à remplir le temps en discutant avec ses amis, c’est qu’il commençait à avoir faim. Un peu.

D’accord, beaucoup, chose que Rigel, Jean-Loup, ainsi que tous les autres élèves de sa maison qui étaient assis autour de lui furent les premiers à savoir.

Éventuellement, à la suite de cette attente presque interminable, Feudeymon finit enfin par revenir, bien vite accompagné par une volée d’ustensiles, assiettes, verres et plats enchantés après un dernier petit discours qui s’avéra bien plus court que le précédent.

-Enfin, fit Liang lorsque les plateaux avaient fini de s’installer sur les différentes tables de la Grande Salle, se saisissant d’un morceau de pain alors qu’il observait la sélection de plats devant lui d’un regard critique. J’ai vraiment cru qu’on nous avait oublié, c’est pas possible. Qu’est-ce que vous pensez que Feudeymon et Mère Gargoule peuvent bien avoir à se raconter pour se taper la discute aussi longtemps, surtout en plein milieu de la cérémonie?

S’en suivit une discussion aussi rapide que haute en volume entre lui et ses deux amis, tous les trois plus que prêts à continuer de se raconter ce qu’ils avaient bien pu faire au cours de l’été. Durant le tout, Liang ne put s'empêcher d’envoyer un ou deux - ou une bonne dizaine, si on tenait réellement à être exact - de regards à Toma qui était assis à l’autre bout de la table avec ses autres amis.

Qu’à cela ne tienne; son aîné était mieux de profiter de sa liberté temporaire parce qu’une fois qu’il arrivait à lui mettre la main dessus? Et bien, il n’avait aucune intention de le lâcher.

Liang était à deux doigts de se lever pour allez faire un passage rapide à la table des Célénors - il avait enfin réussi à repérer la chevelure si facilement reconnaissable de Rowann, installé avec les membres de sa propre maison - lorsque soudainement, quelque chose s’écrasa avec un bruit pas des plus ragoûtants à l’arrière de la tête de Rigel.

Rigel, qui était assis juste à côté de lui.

Ce fut avec un cri particulièrement perçant que Liang s’éloigna de son ami d’aussi loin qu’il le pouvait, jurant entre ses dents alors que son mouvement aussi brusque qu'inattendu renversa non seulement sa tasse de thé, mais la bonne douzaine de verres plus ou moins remplis qui appartenaient à ses comparses ayant le malheur de s’être assis trop près de lui.

Ce fut avec une expression d’horreur qu’il regarda la flaque grandissante qui commençait à couler dans toutes les directions, envoyant un ‘oh merde, pardon’ un rien strident aux autres étudiants affectés par sa bourde involontaire. Reculant sa chaise afin d'éviter de se faire tremper par l’affreuse concoction, il envoya un regard paniqué en direction de la table des professeurs. Est-ce que personne n’allaient faire quoi que ce soit? À ses côtés, comme pour mettre en valeur le fait qu’apparemment, c’était chacun pour soi dans cette catastrophe en devenir, Rigel se leva tout d’un coup, balançant un pot de soupe sur un pauvre Griffedecoq qui n’avait définitivement rien demandé.

C’était à cet instant que Liang décida que non, trop c’était trop et qu’il n’y avait absolument aucune raison pour qu’il soit obligé de subir tout ça. Il n'avait pas passé autant de temps à se préparer quelques heures plus tôt, ratant presque le bus et risquant d’arriver en retard à la rentrée juste pour finir couvert de sauce à cause d'un projectile mal placé!

Plongeant sous la table, renversant sa chaise du même coup dans sa hâte à disparaître de la ligne de mire de tous les étudiants qui auraient eut l’horrible, terrible idée de se joindre à la bataille, il se cogna la tête contre le dessous de sa cachette temporaire avec un bam et un ’fuck’ sonore.

-Oh my god, murmura-t-il alors qu’il se frottait le crâne avec une grimace, tirant vers lui sa chaise tombée afin de maximiser sa protection contre bols de salade et pichets de jus de citrouille vagabonds. Me dites pas que c’est comme ça que je vais rendre l’âme, quand même, je suis trop jeune pour mourir, ayez pitié! Rigel, Jean-Loup! ajouta-t-il, espérant que les deux autres allaient l'entendre malgré la cacophonie qui commençait à se répandre dans la Grande Salle. Vous êtes mieux de défendre l'honneur de notre maison, je compte sur vous!

Recouvrant ses cheveux de sa capuche d’uniforme, Liang était, pour une fois, reconnaissant du fait qu’il soit obligé de porter ce dernier; au moins, ça lui faisait quelque chose pour protéger ses vêtements. Maintenant, il n'avait plus qu'à espérer ne pas se recevoir de coups de pied sur la gueule, mais voilà, il ne pouvait s'occuper que d'un seul problème à la fois.

_____
En Bref
Après avoir observé la répartition, Liang se tape la discute avec Jean-Loup et Rigel, puis continue de leur parler une fois le festin arrivé.
Lorsque la bataille de bouffe débute, Liang hurle bien trop fort quand Rigel se fait balancer de la purée de pomme de terre à la tête, renverse une bonne douzaine de verres par accident sur la table des Dandeloups, puis décide d’abandonner le fort telle une mauviette et de se cacher sous la table derrière une chaise renversée après s’être à moitié assommé.

Go les Dandeloups!

Septembre, 2021

code couleur: #009999

artemis

996

@Rigel Hōkūlani @Liang-Xue Yuan

… and those are the pictures of all the baby calves that were born during spring, aren’t they so cute? Oh, and we had kittens too, but I stayed far from them. Cows are such gentle souls you know, even I can be near them, but I swear, farm cats can be feral and I like having two eyes...¹

Jean-Loup en profitait; il savait qu’il allait bien assez vite manquer de choses intéressantes à parler quant à la ferme et son été passé à travailler, mais Rigel lui n’avait pas entendu toutes les anecdotes, et c’était un peu la manière que le blond avait de revivre cette expérience pour la dernière fois -jusqu’à l’été prochain, en tout cas. Il continua ses récits -et, à la surprise commune on peu assumer, de parler des différents types de tracteurs qu’il a pu conduire durant l’été- jusqu’à ce que le directeur revienne de s’entretenir avec la charmante Mère Gargouille. Je préfère pas trop y penser, ça sert à rien de s’inquiéter pour le moment finit-il par répondre à Liang, un sentiment qui, s’il n’était peut-être pas partagé de tous, au minimum témoignait de la confiance sans fin qu’il accordait à un homme qu’il ne connaissait aucunement, au final. Ce fût mit de côté, de toute manière, avec l’arrivée de la bouffe et des couverts tout mignons qui venaient s’installer sur les tables, suivis de près par le festin de roi qui les attendait : on ne s’attendait pas à autre chose! Après tout, dans un château, c’était normal les festins de roi, non? Non? Ah bon… peu importe; voilà que Jean-Loup s’y donnait à cœur joie, piochait ici et là pour mettre vraiment un peu de tout dans son assiette avant d’entreprendre de la vider complètement. Lui qui ne s’était pas tut dans les dernières quinze minutes, le voilà qui était bien muet!

Il était en train d’absorber la sauce d’un morceau de viande avec un pain encore chaud quand il remarqua enfin ce qui était en train de se passer. Certes, il n’avait pas entendu l’élève qui avait crié à la food fight, mais quand Rigel décida de grimper sur le banc pour crier à qui voulait (ou non) l’entendre qu’il avait reçu un truc par la tête, c’est un gros soupir de découragement qui s’échappa de ses lèvres. Bien qu’il doutait fort que ses paroles se rendent jusqu’à lui, voilà tout de même qu’il lui disait; I *JUST* said I wasn’t going to the principal’s office this years, thanks a lot² avant de poser un coude sur la table, enfouissant son visage boudeur dans sa main. Sortant sa baguette, il marmonna presque le Tergeo! qu’il lança à l’arrière de la tête de son ami pour en enlever les dernières bribes d’il-ne-savait-trop-quoi qui lui collaient aux cheveux.

C’est le cri strident de Liang qui le mit en haute alerte; la bouffe fusait de partout, et s’il avait bien l’intention de finir son assiette, au minimum était-il inquiet : est-ce que le taiwanais venant de recevoir quelque chose derrière la tête lui aussi? Fausse alerte; voilà qu’il se glissait sous la table, et ça le rassura un peu. C’était bien mieux que de participer à toutes ces conneries, non? Voilà qu’il attrapait un bout de pain et qu’il se penchait pour le glisser à Liang, histoire qu’il puisse le manger tant qu’il y en avait encore sur la table et non pas sur le sol. Il eut ainsi tout le loisir d’entendre ce qu’il était en train de dire, et il grogna. Certes, il avait promis de ne pas aller au bureau du directeur, mais avec tous les coupables dans la salle, est-ce qu’un de plus se remarquerait? Il hésita l’espace d’un instant, puis, non : si Liang le demandait, ça devait donc être que c’était la bonne chose à faire, non? Habituellement ce dernier ne l’encourageait jamais à faire des mauvais coups… enfin. C’était faux; Liang faisait son lot de bêtises chaque semaine et entrainait ses amis dedans, mais Jean-Loup ne savait lui trouver aucune faute. Alors toujours en soupirant, il s’excusa à son assiette qui allait rester pleine de nourriture encore un moment et réfléchit trois secondes à la meilleure marche à suivre.

La vérité, c’était qu’il n’était pas très doué pour les charmes et autres sortilèges, alors valait mieux éviter d’en utiliser pour participer au food fight[/b], peu désireux qu’il était qu’un de ses sorts rate et ne fasse exploser quelque chose, ou pire, quelqu’un. Ainsi lança-t-il le seul sort qui lui venait en tête; un bel Impervius! qu’il lança une fois sur ses habits, et une deuxième fois sur sa caboche, ne faisant heureusement exploser ni l’un ni l’autre! Il attrapa ensuite un large plat de présentation pour des petits bouchées, mettant le contenu comestible dans sa bouche et le couvert dans ses deux mains. Ainsi paré de cette protection, voilà qu’il passait sous la table, fit un sourire de vainqueur à Liang, puis réapparu de l’autre côté, suivant son ami Rigel dans sa lancée et montant donc sur le banc de bois qui était son promontoire.

Les renforts sont là! fit le Loupiot en criant presque à son ami, voulant qu’il l’entende par-dessus le chaos général. Je suis chic type, je m’occupe de te couvrir les arrières, alors toi, fait ce que tu fais de mieux!

Joignant le geste è la parole, voilà que Jean-Loup levait précipitamment le bras, un gros tunk sonore résonnant à quelques centimètres du visage de l’américain, qui avait été visé par une… côtelette de porc?

¹… et ça ce sont les photos des veaux qui sont nés au printemps, ils sont trop mignons pas vrai? Oh, et on a eu une portée de chatons aussi, mais je suis resté lui d’eux. Les vaches sont tellement gentilles vous savez, mais les chats de fermes peuvent être pas mal sauvages, et j’aime avoir deux yeux…
²Je viens *JUSTE* de dire que j’irais pas au bureau du directeur cette année, franchement merci…

Jean-Loup parle de ses vacances à la ferme, mange, Tergeo l'arrière de tête de Rigel, puis s'Impervius la tronche avant de le rejoindre avec un plat de présentation et le sauve d'un côtelette volante.

selkie

Bienvenue à Gargoule !

RESUME RP

Dans l'épisode précédentNouvelle école, nouvelle vie ! Alban vient de l'académie magique de BeauxBâtons. Il a choisi Gargoule pour son cursus de magie noire et compte bien maîtriser les arts sombres afin de se libérer lui et sa mère de la malédiction qui pèse sur eux. Opinion sur ces personnesC'est la rentrée des classes ! Il découvre cette nouvelle école. Il cherche à se faire des amis et à se faire respecter. Il est émerveillé par tout ce qu'il voit ! Retrouvez moi sur

Étonnant, l'ambiance s'était directement apaisée lorsque mère Gargoule, en compagnie d'Elias Feudeymon, avait quitté les lieux. On se demande bien pourquoi.... et.....du coup ? C'est que toutes ces émotions lui avaient ouvert l'appétit, n'était-il pas censé avoir un repas ? Le tout jeune Griffdecoq fait la moue et observe les personnes à sa table y comprit à celle des autres. Tien, il y reconnaît quelques têtes ! Il leur fait coucou de loin avec un sourire mesquin, il le sait bien, personne n'est content de le voir ici. C'est une pensée assez triste quand on y réfléchit, non ? Il balaye alors ce sentiment solitude et se met à discuter avec ses camarades de table.

Il est vraiment allé loin au collège. Peut-être plus que ce qu'il avait en tête au départ. Il avait traîné avec les pires influences qui soient, mais... peut-on réellement blâmer ces personnes ? Alban n'est déjà que pure haine se consommant petit à petit. Sans eux, il aurait déjà soufflé sur les braises et il finira tôt ou tard par se brûler les ailes. C'est gravé dans sa chaire.

Il est émerveillé par tout ! Ses nouveaux camarades, l'environnement, et même sa robe de sorcier ! Une robe enchantée des plus magnifiques qui autrefois grise, s'était parée d'une sublime teinte verte et de la silhouette fier d'un cocatrix. L'animal bougerait presque et ça ne l'étonnerait pas. Le vêtement était issu d'un ouvrage fin et minutieux, il se demandait bien qui pouvait en être le tailleur.

Il se surprenait à être rêveur. Pourquoi le directeur était-il absent si longtemps ? Est-ce que cela avait un rapport avec Mère Gargoule qui sonde leurs âmes ?... Un brun de frayeur le saisit, heureusement que le directeur fut son retour car il était temps ! Alban se boucha même les oreilles au cas où il y aurait un sonorus raté, heureusement pour son audition, celle-ci ne baissera pas davantage !

Que le repas commence !

C'est avec enthousiasme que tous les élèves accueillir les mets les plus raffinés sur leurs tables, lui fut quelque peu mal à l'aise de voir tant d'objets voler vers lui, mais il fut ravi de constater que l'ambiance était devenue réellement festive et détente ! C'est avec un grand sourire qu'il se servit et commença son repas par quelque chose qu'il adorait comme du magret de canard laqué. Mais c'était bien autre chose qui titillait son estomac.... la curiosité. Cette curiosité dévorante qui creusait de plus en plus sa place dans son esprit lorsqu'il passait ses yeux sur ces gargouilles de pierres.
Etait-ce des créatures à part entière où étaient-elle enchantées ? Il devait le savoir, le demander à un prof...enfin....... ça n'était pas les déranger en un moment aussi important que celui de la rentrée ? Mais enfin ! Rien n'est impossible pour Alban, il s'autorise tout. Tout pour sa personne.
Il se levait alors de la table des Griffdecoq, contournant un plat volant qu'il ne savait pas encore être le théâtres de la plus belle des bêtises de l'année.
Un BAM derrière lui, et un cri venant de la table des Celenors, il crut un instant qu'il s'agissait de la voix de Liam.

BATAILLE DE BOUFFE!!!

Il sentit alors quelque chose de chaud et humide s'écraser derrière son crâne, se mêler à sa PARFAITE et SOYEUSE chevelure blanche.

...

Oh.
My.
God.

Alban se figea sous la surprise. Quelqu'un avait vraiment osé ? À la cérémonie de répartition ? VRAIMENT ? Mais c'est une idée... GÉNIALE ! Il se retourna lentement avec un sourire que l'on peut clairement qualifier de psychopathe entre la colère, le je vais te tuer et une aura de sadisme presque visible à l’œil nu.

AAAAAAAAAHHHHHH

Ni une ni deux, le Griffdecoq se sacrifia en sautant sur sa table, devenant ainsi une cible facile... mais pas sans se battre !!!!!!!!!! Il attrapa un plateau de boulettes de viande bien dans leurs jus histoire de faire le plus de dégâts possibles. Il les lancerait à la main comme au bon vieux temps pour plus de précision, évidemment.
Il avait évidemment repéré cette alliance dévastatrice des Dandeloup avec un artilleur, un ravitailleur et un ~~gay~~ guet sous la table. Il sût alors ce qu'il devait faire pour remporter la bataille : Viser les plus faibles.

Alban concentra l'essentiel de son feu d'artillerie sur les tables Célénor et Chadargent visant évidemment entre les deux yeux le plus qu'il pouvait !! C'était un déluge inarrêtable, le soldat vert faisait fit de ses blessures bien qu'il irait pleurer son état par la suite et surtout sa belle chevelure soyeuse de blanchon !!!!

A L'ATTAQUE VOUS NE GAGNEREZ PAAAAS !!!!!

Est-ce que c'est partit trop loin ? Oui. Est-ce qu'il va le regretter ? Franchement non. Gargoule best cérémonie !!!!!!

Pourcentage de rage d'Alban avant...?

Alban vous bully en
FDDB88

*Tableau inventaire*	1
Nom de la potion	Nom de la potion
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Nom de la potion	Nom de la potion
Nom de la potion	Nom de la potion
Nom de la potion	Nom de la potion
Nom de la potion	Nom de la potion
Nom de la potion	Nom de la potion
Nom de la potion	Nom de la potion
Nom de la potion	Nom de la potion

*Tableau des sortilèges (ordre alphabétique SVP)*
1	Accio
2	Alohomora
3	Expeliarmus
4	Expulso
5	Lumos
6	Nox
7	Protego
8	Recurvite
9	Reparum
10	Riddikulus
11	Sortilège informulé
12	Stupéfix
13	Wingardium Leviosa
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*Tableau des potions (ordre alphabétique SVP)*
1	Antidote des poisons courants
2	Herbicide
3	Philtre de confusion
4	Philtre de paix
5	Potion d'amnésie
6	Potion d'Aiguise-Méninges
7	Potion de puissance
8	Potion de ratatinage
9	Potion d'enflure
10	Remède contre les furoncles
11	Vapeur de fatigue
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*Tableau inventaire*	1
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Nom de la potion	Nom de la potion
Nom de la potion	Nom de la potion
Nom de la potion	Nom de la potion
Nom de la potion	Nom de la potion

*Tableau des sortilèges (ordre alphabétique SVP)*
1	Accio
2	Alohomora
3	Expeliarmus
4	Expulso
5	Lumos
6	Nox
7	Protego
8	Recurvite
9	Reparum
10	Riddikulus
11	Sortilège informulé
12	Stupéfix
13	Wingardium Leviosa
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*Tableau des sortilèges (ordre alphabétique SVP)*
1	Accio
2	Allohomora
3	Brachialigo
4	Emancipare
5	Expelliarmus
6	Expulso
7	Flipendo
8	Lumos
9	Nox
10	Recurvite
11	Reparum
12	Repulso
13	Riddikulus
14	Sortilège informulé
15	Spero Patronum
16	Symbios
17	Wingardium Leviosa
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60

*Tableau des potions (ordre alphabétique SVP)*
1	Élixir d'Euphorie
2	Herbicide
3	Philtre de Confusion
4	Philtre de Paix
5	Potion d'Aiguise-Méninges
6	Potion d'Amnésie
7	Potion d'Enflure
8	Potion de Ratatinage
9	Remède contre les furoncles
10	Vapeur de Fatigue
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*Tableau des sortilèges (ordre alphabétique SVP)*
1	Sortilège
2	Sortilège
3	Sortilège
4	Sortilège
5	Sortilège
6	Sortilège
7	Sortilège
8	Sortilège
9	Sortilège
10	Sortilège
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*Tableau des potions (ordre alphabétique SVP)*
1	Potion
2	Potion
3	Potion
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*Tableau des potions (ordre alphabétique SVP)*
1	Potion d'aiguise-méninges
2	Potion d’amnésie
3	Philtre de confusion
4	Potion d'Enflure
5	Vapeur de fatigue
6	Remède contre les furoncles
7	Herbicide
8	Potion de ratatinage
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*Tableau des potions (ordre alphabétique SVP)*
1	P. d'aiguise-méninges
2	P. d’amnésie
3	Phil. de confusion
4	P. d'Enflure
5	Rem. contre les furoncles
6	Herbicide
7	P. de ratatinage
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